Pour débuter votre
généalogie...
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Travail
préliminaire
Avant toute recherche, il importe
de rassembler le maximum de renseignements
préalables sur la famille
étudiée et pour ce faire :
1°/ de fouiller meubles et
placards, malles du grenier, etc, afin de regrouper
tous les documents que l'on peut posséder :
livrets de famille (depuis 1884), livrets
militaires, avis de décès, faire-part
de mariage ou de naissance, photographies jaunies
par le temps, lettres, titres de
propriété, contrats de mariage et
tous autres actes notariés, etc. ;
2°/ d'interroger parents,
grands-parents, oncles et tantes survivants,
cousins, ou amis, enfin voisins des disparus. Il
est important de savoir écouter, de laisser
l'interlocuteur évoquer ses souvenirs et
d'aiguiller ceux-ci vers l'ancêtre
recherché ; on feuillettera avec lui les
anciens albums de photographies pour identifier les
personnages, connaître les lieux où
les photos ont été prises, et en
quelle occasion ;
3°/ d'aller visiter les tombes
familiales, celles-ci indiquent souvent les noms et
prénoms de chacun de leurs occupants avec le
millésime de leur naissance et de leur
décès.
La documentation ainsi recueillie
qui couvrira parfois deux, trois,
générations sera le point de
départ de futures investigations.
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Conduite des recherches
Sous peine de graves
déconvenues les recherches doivent
être effectuées méthodiquement
en partant de faits et dates connus et
vérifiés, et cela
génération après
génération.
Le principe de base de la recherche
généalogique est simple : il convient
de retrouver la date et le lieu de naissance, de
mariage et de décès de chaque
ancêtre, puis d'obtenir la copie de chacun de
ces actes. En partant des renseignements fournis
par ceux-ci, de faire de même pour les
parents de l'ancêtre étudié, en
remontant ainsi le fil des
générations passées.
Comment procéder ? Partant
de l'acte de décès d'un aïeul
que nous appellerons Paul, mort en 1934 à
l'âge de 75 ans, une simple soustraction
donnera l'année de sa naissance : 1859, mais
selon que le défunt avait 75 ans
révolus ou était dans sa
soixante-quinzième année l'acte de
naissance sera à rechercher aussi bien en
1858 qu'en 1860. En fait il sera bon de
prévoir une marge de sécurité
de deux à trois ans qui devra être
beaucoup plus étendue lorsqu'on abordera le
XVIIIe siècle, les âges
indiqués au décès étant
très souvent sujet à caution et un
écart de cinq ans et plus entre l'âge
indiqué et l'âge réel
n'étant pas rare.
À partir de l'âge des
père et mère de Paul indiqué
dans l'acte de naissance de ce dernier on
recherchera l'acte de mariage des époux en
tenant compte de l'âge légal de
nuptialité. Fixé sous l'Ancien
Régime par le Droit Canon, il était
de 12 ans pour les filles et de 14 ans pour les
garçons. Relevé lors de la
Révolution à 13 ans pour les filles
et 15 ans pour les garçons il est depuis
l'introduction du Code Civil respectivement de 15
et 18 ans.
L'acte de mariage des parents de
Paul permettra de connaître assez facilement
les dates de décès de leurs parents
respectifs. Selon qu'ils étaient
décédés lors de ce mariage,
leur mort se situe entre ce moment et
l'année de naissance de leur dernier enfant
connu, ou si ils étaient vivants, entre
l'année du dit mariage et le moment ou
chacun d'eux aurait eu cent ans, les centenaires
étant fort rares. Lorsque aucun document ne
permet d'établir avec certitude l'âge
des parents, il convient d'évaluer celui-ci
: l'âge moyen au mariage étant de 25
ans, les parents ont généralement aux
alentours de cinquante ans lors du mariage de leurs
enfants ;
Si la date approximative d'un acte
d'état civil est assez facile à
établir par déduction, il est par
contre plus difficile de suivre ses ancêtres
à travers leurs déplacements. Le plus
souvent un acte de mariage pourra être
trouvé au lieu de naissance ou de
baptême de l'épouse, mais à
condition que les parents de celle-ci n'aient pas
depuis lors déménagé.
Lorsqu'il en est ainsi la filière est
rompue. Si la rupture se produit à une
époque couverte par les tables
décennales de l'état civil, une
lecture méthodique de celles du canton et au
besoin des cantons voisins devrait permettre avec
un peu de chance de retrouver la piste des
disparus, mais ce travail fastidieux n'apporte pas
toujours des résultats et l'inexistence de
tables avant 1802 le rend impossible pour la
période antérieure.
Le seul moyen de renouer le fil des
générations réside alors dans
l'exploitation des renseignements relatifs aux
branches collatérales. Dans de nombreux
actes en effet apparaissent frères et sœurs,
oncles ou tantes, cousins ou parrains ou marraines.
Toutes les indications concernant
cette parentèle devront être
soigneusement relevées, car elles
permettront bien souvent d'établir le lien
avec la génération
antérieure.
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Classement des renseignements
Au fur et à mesure des
recherches les renseignements afflueront toujours
plus nombreux. Pour ne pas être
submergé par leur avalanche et éviter
de recommencer une recherche déjà
effectuée il est indispensable de
procéder avec ordre et méthode, de
constituer un dossier pour chaque couple, de
remplir des fiches individuelles ou familiales,
enfin de dresser un tableau et une table
d'ascendance. Mais avant cela chaque ancêtre
devra être doté d'un numéro qui
facilite son repérage au milieu de tous les
autres.
Numérotation
Sosa-Stradonitz
Inventé en 1676 par
l'espagnol Jérôme de SOSA et repris au
xixe siècle par Von StTRADONITZ, ce
système de numérotation est
aujourd'hui universellement reconnu et
adopté par tous les
généalogistes.
Selon son principe, le
numéro 1 est toujours attribué au
probant c'est-à-dire au
généalogiste lui-même - homme
ou femme - ou au personnage dont il établit
la généalogie. Le numéro 2
sera le père et le numéro 3 la
mère. Les numéros 4 seront le
grand-père paternel, 5 la grand-mère
paternelle, 6 le grand-père maternel et 7
son épouse, 8 le bisaïeul paternel, et
ainsi de suite.
Un certain nombre de constantes
peuvent donc être constatées :
- les hommes ont toujours un
numéro pair ;
- leurs épouses ont toujours
un numéro impair ;
- le numéro du père
est toujours double du numéro de son fils ou
de sa fille ;
- le numéro de la
mère est égal au numéro du
père + 1, il est aussi le double + 1 du
numéro de son fils et de sa fille ;
- le numéro des enfants est
toujours égal à la moitié du
numéro de leur père, et à la
moitié du numéro - 1 de leur
mère.
On peut ainsi préparer
à l'avance liste et tableau d'ascendance
ainsi que fiches et dossiers, sans connaître
les noms de tous ses ancêtres.
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Tableau d'Ascendance
Chaque ancêtre aura sur ce
tableau sa place prédéterminée
par son numéro Sosa-Stradonitz. Rien ne
s'oppose donc à ce que l'on inscrive au fur
et à mesure les renseignements qui
parviendront le plus souvent en ordre
dispersé.
La plupart des cercles
généalogiques ayant
créé leur modèle-type de
tableau d'ascendance il en existe donc une grande
variété sur le marché.
Tantôt de 15, de 31, ou de 127 quartiers ou
plus, ceux-ci peuvent offrir une
présentation horizontale, circulaire, ou
semi-circulaire. Le mieux conçu et le plus
commode parce qu'on peut aisément l'emporter
avec soi dans un porte-documents est celui qui a
été édité par notre
association, le Cercle Généalogique
de Languedoc. Il se présente sous l'aspect
d'une longue bande de papier (1,30 m)
repliée en accordéon sous une
couverture attrayante de format 21x29,7 cm. La
partie gauche de la bande est consacrée
à l'ascendance paternelle et la partie
droite à l'ascendance maternelle.
Permettant d'inscrire 1 023 ancêtres, soit
dix générations, ce tableau est
à la portée de toutes les bourses au
prix modique de 6 Euros à demander à nos
animateurs ou par courrier postal en
ajoutant
1,60 euros de frais de port
au Cercle Généalogique de Languedoc
au 18, rue de la Tannerie. 31400 Toulouse.
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Table d'ascendance
Hormis les petits tableaux de 15
quartiers qui offrent une place suffisante pour y
inscrire les nom, prénoms, dates et lieux de
naissance, mariage et décès de chaque
ancêtre, enfin leur profession, les tableaux
d'ascendance ne le permettent
généralement pas. Il convient donc de
dresser parallèlement une table comportant
tous ces éléments établie bien
entendu dans l'ordre croissant des numéros
Sosa-Stradonitz.
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Fichiers et dossiers
généalogiques
Il est également
recommandé d'établir un fichier ainsi
que des dossiers, soit individuels, soit par
couple.
Les fiches individuelles qui
comprendront l'ensemble des données
relatives à chaque ancêtre :
numéro Sosa-Stradonitz, nom, prénoms,
dates et lieux de naissance, mariage,
décès, filiation et profession seront
classées selon l'ordre alphabétique.
On n'omettra pas d'établir également
une fiche au nom des conjoints antérieurs ou
postérieurs, en cas de remariage.
Il nous parait cependant
préférable d'établir une fiche
familiale pour chaque ménage, regroupant
toutes les données relatives non seulement
aux époux mais aussi à leurs parents
et à leurs enfants.
Les dossiers
généalogiques constitués d'une
grande enveloppe ou d'une chemise en carton
recevront copies d'actes d'état civil, actes
notariés, photographies, et tous autres
documents rassemblés au cours des
recherches. Ces dossiers peuvent être
individuels ou concerner un couple. Dans ce dernier
cas on pourra y inclure également la fiche
familiale qui en résumera le contenu.
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Descendance et
collatéraux
On ne manquera pas d'établir
également des fiches et des dossiers pour
tous les oncles et tantes, cousins et cousines que
l'on aura pu découvrir au fur et à
mesure des recherches.
Toute cette parentèle ayant
sa place dans l'arbre généalogique,
il conviendra d'en prendre note lors de son
apparition, si l'on veut éviter d'avoir
à reprendre des registres déjà
consultés, le problème le plus
délicat que l'on rencontrera étant de
la numéroter. Diverses méthodes -
d'Aboville, Durye, Pélissier - qu'il serait
trop long de décrire ici, ont
été présentées sans
qu'en raison de leur complexité aucune ne
recueille une adhésion unanime. Se
renseigner auprès des animateurs de notre
association, le Cercle Généalogique
de Languedoc, qui sont à même de vous
conseiller utilement.
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État civil et registres
paroissiaux
L'état civil,
constitué par l'ensemble des actes
authentiques de naissance, de mariage, de
décès ou de reconnaissance
destinés à constater l'état
des personnes, est la source le plus
fréquemment utilisée par le
généalogiste. C'est la seule qui lui
permettra d'établir la trame chronologique
de son histoire familiale.
Dispositions
légales
Selon les dispositions en vigueur,
" Toute personne majeure ou émancipée
peut obtenir des copies intégrales de son
acte de naissance ou de mariage. Peuvent
également obtenir des copies les ascendants,
ou descendants de la personne que l'acte concerne,
son conjoint son représentant légal
ou le Procureur de la République ".
En ce qui concerne les tiers toute personne pourra
obtenir, sans avoir à justifier sa demande,
un extrait dit " à tout requérant "
ne comportant aucune indication de filiation, mais
reproduisant les mentions marginales. Par contre "
les copies d'actes de décès peuvent
être délivrées à toute
personne ".
La délivrance des actes est
gratuite, le demandeur est seulement tenu de
joindre à sa demande une enveloppe
timbrée à ses nom et adresse. Lorsque
l'acte demandé concerne un membre de sa
famille il est préférable de
préciser son lien de parenté.
Au delà de soixante-quinze
ans les autorités ne sont plus tenues de
délivrer copies ou extraits, les registres
devenant alors librement communicables.
L'intéressé peut alors aller les
consulter soit en Mairie, soit aux Archives
départementales.
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Contenu des registres de
l'état civil
Selon l'importance de la commune on
trouvera des registres séparés pour
les trois catégories d'actes ou bien un
registre unique regroupant naissances, mariages et
décès. À la fin de chaque
année une table récapitule tous les
actes de même nature. Tous les dix ans les
tables annuelles sont fondues dans une table
décennale. Précisons que ces diverses
tables ne sont pas alphabétiques mais
seulement abécédaires et qu'elles ne
sont pas très fiables en raison des
omissions qu'elles comportent trop souvent.
Un acte de naissance indique
:
- l'heure, la date et le lieu de la
naissance ;
- les nom, prénoms et sexe
du nouveau-né ;
- les noms, prénoms,
âge, profession et domicile des parents
;
- les noms, prénoms,
âge, professions des témoins et leurs
liens de parenté éventuels.
Depuis 1897 les actes de naissance
devraient comporter les mentions marginales de
mariage : date, lieu, nom et prénom du
conjoint, et en cas de divorce : la date et la
désignation du tribunal ayant
prononcé celui-ci, et pour les
décès postérieurs à
1945 les date et lieu du décès. Les
jugements d'adoption et les changements de nom font
également l'objet d'une mention en marge des
actes de naissance. En fait il semble que depuis la
dernière guerre les mentions marginales ne
soient portées que de façon assez
irrégulière.
Un acte de mariage indique
:
- les dates et lieu du mariage
;
- les noms et prénoms des
époux ;
- leur dates et lieux de naissance
;
- leurs adresses et professions
;
- en cas de contrat de mariage, ses
lieu et date, et le nom du notaire ;
- les nom, prénoms du
précédent conjoint avec la date et
lieu du décès ou du divorce qui a
rompu l'union antérieure ;
-
les noms, prénoms, profession, des tuteurs
ou curateurs, en cas de minorité des
mariés, avec parfois dans ce cas les noms,
prénoms des grands parents et leur date et
lieu de décès ;
- enfin les noms, prénoms,
âges, professions, domiciles et liens de
parenté des témoins.
En marge des actes de mariage on
devrait également trouver les mentions de
divorce ou de séparation de corps avec date,
et désignation du Tribunal ayant rendu le
jugement. Lorsque des enfants nés hors
mariage sont légitimés leur
identité et leur date de naissance sont
indiqués dans cet acte. L'acte de mariage
est particulièrement précieux pour le
généalogiste, auquel il apporte des
renseignements sur deux branches à la
fois.
Un acte de décès
indique :
- les heure, date et lieu du
décès ;
- les nom, prénoms,
âge, domicile et filiation du défunt
;
- les nom, prénoms du
conjoint avec indication d'un veuvage
éventuel ou d'un divorce ;
- les noms, prénoms,
âges, professions et résidences des
déclarants ;
- leurs liens de parenté ou
non avec le mort.
L'acte de
décès
est le plus difficile à retrouver lorsque le
décès survient dans une commune
différente du dernier domicile connu.
Toutefois, depuis la loi du 20 novembre 1919 les
décès survenus dans les
hôpitaux, lors d'un accident, ou par fait de
guerre, doivent être transcrits dans les
registres de la commune où le défunt
était domicilié.
L'acte de reconnaissance d'un
enfant naturel indique :
- les date et lieu de la naissance
;
- les nom et prénoms de
l'enfant ;
- les nom, prénoms,
âge, domicile et profession de la mère
;
- le lieu de naissance de la
mère.
Si l'enfant est reconnu par son
père les renseignements concernant ce
dernier sont identiques. En cas de
légitimation, la date et le lieu du mariage
sont inscrits en marge de l'acte.
Les actes de Publication de
mariage,
lorsqu'ils ont échappé à la
destruction, sont aussi très utiles, parce
que dressés dans les communes où
chacun des futurs époux était
domicilié, ils peuvent aider à
retrouver la trace d'un mariage.
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Autres sources
* Les actes de
catholicité
* Enregistrement et
Hypothèques
* Les minutes notariales
* Les fonds judiciaires
* Les listes nominatives
* Recrutement et Service
Militaire
* Les Archives
Ecclésiastiques anciennes
Sans oublier les fonds divers des
Archives Départementales tels
:
- Les archives fiscales et du
Cadastre
- Les fonds de
l'Enseignement
- Le fonds des familles et des
corporations
- Les fonds d'érudits
- Les documents entrés par
voie extraordinaire
- Les Microfilms
- Les Cartes et Plans
- La Photothèque
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Ce que notre association pourra
vous apporter...
vous aider à commencer puis
à progresser dans vos recherches
généalogiques par une équipe
de 40 personnes compétentes et
bénévoles au sein d'une association
bénéficiant de 38 années
d'expérience.
* 1 seule cotisation pour 13
départements couverts pas nos
équipes.
* 1 seule cotisation pour 8 lieux
de rencontres.
Des services
spécialisés :
- Formations
généalogiques.
- Découvertes des logiciels
généalogiques.
- Recherches à distance
à votre place d'où rapidité et
gain de temps, etc.
C
comme Cercle et
convivialité,
G
comme Généalogie et
générosité,
L
comme Languedoc et liaison
C'est à tout cela que le
Cercle Généalogique de Languedoc vous
convie, vous qui découvrez le Cercle
Généalogique de Languedoc.
Les valeurs du Cercle sont
inscrites dans son sigle : Convivialité,
Générosité et Liaison. Le
Cercle réunit, en effet, des personnes
soucieuses de mettre en commun le fruit de leurs
recherches, de partager leurs expériences
afin de progresser dans la connaissance de leur
propre ascendance mais aussi dans une meilleure
connaissance d'une Histoire qui participe à
leur identité. On entre donc au C.G.L. pour
trouver mais aussi pour offrir et échanger.
La finalité même de l'association est
l'entraide dans un esprit
désintéressé. Le but du Cercle
n'est pas lucratif et ne s'inscrit en aucune
façon dans une démarche commerciale.
L'équipe de
bénévoles qui anime au quotidien la
vie du Cercle Généalogique de
Languedoc espère vous guider pour que vous
puissiez exploiter les opportunités
offertes. Le Cercle n'a pas pour vocation de se
substituer à ses adhérents pour faire
leurs recherches. Il a pour principaux objectifs de
faciliter la rencontre de personnes travaillant sur
les mêmes familles, les mêmes communes,
les mêmes thèmes historiques et
faciliter l'accès aux sources par la
publication et la diffusion de
dépouillements réalisés dans
les archives par des confrères et des
consœurs bénévoles. Il contribue
aussi à la sauvegarde de la mémoire
collective.
Cet état d'esprit
basé sur l'entraide et le partage explique
le succès du Cercle
Généalogique de Languedoc. Le Cercle
est parti d'une poignée de personnes le 6
janvier 1978. Nous sommes aujourd'hui plus d'un
millier de membres et nous disposons d'un riche
fonds documentaire. Le Cercle a réussi
à s'inscrire dans le paysage associatif de
Languedoc-Roussillon et de
Midi-Pyrénées par ses nombreuses
Sections Locales et ses Groupes
Départementaux car il a toujours
été soucieux d'évoluer au fil
du temps pou répondre toujours mieux aux
attentes des généalogistes amateurs.
Il continuera à progresser mais c'est par la
contribution de tous qu'il continuera à
aller de l'avant avec son temps vers l'avenir afin
d'être à la pointe des
possibilités offertes par le présent
pour mieux comprendre le passé.
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connaître encore un peu plus notre
association...
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