N'ont été
répertoriés ici que les noms de
métiers considérés comme
disparus, c'est à dire ne figurant pas dans
la dernière édition (1993) du Petit
Larousse.
Il a été par ailleurs
difficile de définir l'orthographe et la
forme du nom de métier rencontré,
celles-ci variant selon les temps et les lieux, et
engendrant bien des variantes comme cercelier et
cerclier, censier et censeur, cendrier et
cendrilleur... Le seul et fameux mulquinier en
compte ainsi cinq ou six à lui seul.
De façon
générale, on n'a donné que les
variantes intéressantes, et toujours
regroupé celles se suivant dans le
classement alphabétique, créant ainsi
une seule entrée pour noretier et
nortier.
De même, il est rapidement
apparu que les définitions de " fabricant "
et " marchand " allaient souvent se recoupant.
Ainsi le ligotier fabriquait et vendait-il ses
fagots, comme le déicier ses dés et
le sabotier ses sabots. De même, la
démarcation est floue pour bien des
activités ouvrières, l'ouvrier
pouvant parfois vendre ses propres
productions.