Un rémouleur à Paris (Seine)


Dictionnaires des vieux métiers

Histoire

À la veille de la Révolution, on estime que la population française était composée de 18 millions de paysans sur 28 millions d'habitants (64 %).

Contenu

N'ont été répertoriés ici que les noms de métiers considérés comme disparus, c'est à dire ne figurant pas dans la dernière édition (1993) du Petit Larousse.

Il a été par ailleurs difficile de définir l'orthographe et la forme du nom de métier rencontré, celles-ci variant selon les temps et les lieux, et engendrant bien des variantes comme cercelier et cerclier, censier et censeur, cendrier et cendrilleur... Le seul et fameux mulquinier en compte ainsi cinq ou six à lui seul.

De façon générale, on n'a donné que les variantes intéressantes, et toujours regroupé celles se suivant dans le classement alphabétique, créant ainsi une seule entrée pour noretier et nortier.

De même, il est rapidement apparu que les définitions de " fabricant " et " marchand " allaient souvent se recoupant. Ainsi le ligotier fabriquait et vendait-il ses fagots, comme le déicier ses dés et le sabotier ses sabots. De même, la démarcation est floue pour bien des activités ouvrières, l'ouvrier pouvant parfois vendre ses propres productions.

Accéder au Dictionnaire des vieux métiers

  Retour à la page d'accueil